BAGAYAMUKWE Tadji Gustave,dit ,l’Homme de Bukavu, membre fondateur et Président de l’Association pour la Défense des Intérêts du Kivu-Bukavu (ADIB), haut cadre UNC, une fois candidat député national, candidat Gouverneur et candidat député provincial, il se révèle avoir le profil idéal de la personne providentielle pour la pacification et le développement du Sud-Kivu.
Maintenant, où le Sud-Kivu attend impatiemment l’avènement des dirigeants politiques capables d’assurer son décollage, l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) semble être en train de mal gérer ses ressources humaines. En effet, si on y prend pas garde, ce parti politique risque de rater une occasion en or pour sauver la population du Sud-Kivu qui, pourtant a placé depuis plusieurs années son espoir et toutes ses attentes dans l’Homme de Bukavu, indépendant les années antérieures, mais cette fois membre de l’UNC et très proche de Vital Kamerhe, le leader désormais incontestable et incontesté aussi bien au niveau provincial que national.
Pour l’opinion populaire réellement responsable au niveau provincial, de l’UNC et de la Société civile dont ADIB est membre en tant qu’association plus représentative des tous les territoires de la province et particulièrement de la ville de Bukavu; Gustave Bagayamukwe aurait dû être, en temps normal, et depuis longtemps, le meilleur gouverneur de la Province du Sud-Kivu; et à défaut, le meilleur Ministre de l’Intérieur; à défaut, le meilleur Maire de la Ville de Bukavu.
Il n’a fait que des études d’ingénieur quatre fois: en électronique industrielle, télécommunication, systèmes et réseaux informatiques, nouvelles technologies de l’information et infrastructures bancaires. Son expérience de gestion et sa carrière professionnelle commence comme chercheur et assistant à la faculté des sciences à l’UNIKIN, ensuite comme technicien spécialisé dans les télécoms et aides radioélectriques à la navigation aériennes et systèmes d’atterrissages aux instruments à la Régie des Voies Aériennes. En 1986, il est directeur des télécommunications à l’office des Routes et rejoint la Banque Centrale du Congo en 1990 comme responsable du Service de Sécurité. Il y termine sa carrière après 20 années, en 2010, comme responsable à la direction des infrastructures et systèmes informatiques à la Banque Centrale du Congo. Pendant les dix dernières années de sa carrière, il a été représenté la communauté bancaire congolaise dans tous les forums techniques de communications interbancaires auprès des organisations bancaires à travers le monde.
En tant qu’acteur de développement au sein de la société civile, c’est en 1995 qu’il crée en compagnie d’autres “Garçons BKV” de la diaspora à Kinshasa, l’association pour la Défense des Intérêts de Bukavu (ADIB). Depuis cette création de ADIB jusqu’à ce jour, il est au chevet de la province du Sud-Kivu devenu son apostolat. En véritable défenseur des intérêts de la province, il a toujours été présent lors des calamités naturelles (tremblements de terre, accidents divers comme les brûlés de Sange, les massacre de Kigulube), études et interpellations sur les risques dus à la non exploitation du gaz méthane dans le lac Kivu, séminaires sur les viols et violences ainsi que la problématique d’une paix durable et d’une gouvernance responsable au Sud-Kivu (atouts et difficultés). Toutes ses multiples réalisations personnelles et avec ADIB en faveur de la province et le pays sont sur le site internet: https://www.adib.cd.
Condamné à mort sans procès le 10 février 2013 et déporté à Kinshasa, le même jour à la suite d’une incompréhension pour avoir réussi à organiser tous les “groupes d’autodéfense populaires” présents dans notre province, alors, abusivement appelés “forces négatives” par les Nations Unies, afin de faire allégeance au gouvernement provincial et ainsi mieux sécuriser nos frontières. Dieu merci, il est revenu à Bukavu, heureusement vivant, cinq années plus tard, le 10 février 2018. Aussi, toute cette histoire vraie et fausse est sur internet pour celui qui souhaite plus de détails. Certes il est l’homme qui connaît le mieux la Province du Sud-Kivu dans tous ses aspects (sécuritaire, environnemental, infrastructurel, politique et social) pour y avoir mené personnellement plusieurs missions de plaidoyers, de réconciliation et de pacification intercommunautaire dans le Sud-Kivu profond.
Le régime passé a toujours entravé les vœux de la population, maintes fois exprimés à partir de l’Association pour la Défense des intérêts du Kivu-Bukavu qui l’a porté d’ailleurs comme candidat député National en 2011, candidat Gouverneur en 2017 alors qu’il était encore en prison à Kinshasa et candidat député Provincial en 2018, quelques jours seulement après sa libération. Depuis 1995 à la création de l’Association ADIB jusqu’en 2012, il a œuvré pour la pacification de la province en organisant une grande croisade qui l’a conduit dans les huit territoires du Sud-Kivu prêchant ici l’amour, la culture des valeurs positives dont l’Excellence, l’Élitisme, le cosmopolitisme et la paix. Il a été ainsi en contact avec tous les Chefs coutumiers de la Province, avec lesquels d’ailleurs il a mis en place dans le cadre de son association ADIB plusieurs projets de développements qui sont toujours visibles jusqu’à ce jour.
Bien plus Bagayamukwe s’était engagé résolument pour mettre fin à l’activisme des groupes armés dans le cadre d’un programme axé sur la pacification ; programme qu’exécutait son association ADIB et qui visait à conscientiser tous les Chefs rebelles à se rencontrer et qu’ensemble ils prennent l’engagement de déposer les armes et d’entamer le dialogue avec les autorités du Pays.
Interrogé, Gustave Bagayamukwe a fait remarquer qu’il sera toujours au chevet de la Province du Sud-Kivu partout où son parti politique l’UNC décidera de le placer. Cependant, selon lui, la Province aurait été bien indiquée pour lui permettre de réaliser son rêve qu’il n’avait pas pu réaliser à travers tous les gouverneurs et autres leaders membres de l’ADIB devenus politiciens et qui sont passés à la tête de cette Province avec le seul programme de la dictature de 2006 jusqu’en 2018. Un mode de gestion qui est malheureusement à la base de la misère de toute la population jusqu’à ce jour. L’on se rappelle d’ailleurs que de tous les membres de l’UNC qui avaient battus campagne en 2018 lors de dernières élections, aucun n’a dépensé en terme financière et en termes d’énergie comme Bagayamukwe, pour battre campagne pour le ticket gagnant FATSHIVIT.
Aujourd’hui, s’il est impossible que Gustave Bagayamukwe se retrouve dans les institutions provinciales, néanmoins, sa base populaire dont la majorité était encore indépendante de la politique, avant son adhésion à l’UNC, demande à leur Président National, “le faiseur des rois” en RDC, Vital Kamerhe, qui avait d’ailleurs pesé de tout son poids pour obtenir sa libération comme prisonnier politique dans le cadre de la décrispation politique, puisse encore s’imposer pour obtenir du Chef du gouvernement central la nomination de ce digne fils du Sud-Kivu à un poste à la hauteur de ses compétences, qui lui permettra d’être toujours disponible pour veiller aux intérêts du Sud-Kivu. Tout laisse à croire que Gustave Bagayamukwe est un acteur majeur, sur qui la Province du Sud-Kivu et toute la République doivent compter en ce moment où une nouvelle ère vient de voir le jour en RDC et que toute la population attend un changement à tous le niveau.