Dans les coulisses d’un labeur quotidien et plein d’acharnement pour le développement sociétal et profondément communautaire, le génie du fils de de la province du Sud-kivu vient refaire surface avec des tendances toutes déterminantes pour l’essor du bas peuple, ceux-là qui ne participent directement à la politique de force de ténors des institutions politiques.

Une évolution toute normale

Né dans la province du Sud-kivu à Bukavu, après 18 ans, il quitta seulement Bukavu pour la capitale où ses études se sont vaillamment tournées avec beaucoup de ténacité et l’ont ouvert à une vie professionnelle plus ou moins déterminantes et profondément enrichissante.
Après son départ de Bukavu, il s’est illustré par son acharnement pour le développement communautaire, une des raisons qui lui valu une arrestation ; une entorse pour la lutte pour redorer l’ordre de la famille ternie par un certain nombre de circonstances et des montées comme descentes, des chefs coutumiers et toutes les autorités décentralisées. Une sommation de pratiquement 6 années parmi lesquelles 5 années en prison et une année en libération pour renforcer toujours les faiblesses de la communauté sans lesquelles une nation ne peut se développer.

 

Une rencontre entre leaders de la province du Sud-kivu

Convié à une interview sur son retour imminent, il n’a pas oublié de mentionner la gloriole dernière du Docteur Dénis Mukwege sacré prix Nobel de la paix, lequel détenteur du prix, il a fait mention avoir été né et grandi à Cimpunda, comme Gustave lui-même, en pleine commune de Kadutu. Une joie qu’il n’a manqué de manifester par une visite anodine qu’il a eu auprès du docteur ayant appris qu’il était dans les parages de l’hôpital de Panzi.
Par cette rencontre toute hâtive, il a fallu repasser auprès du Docteur Mukwege pour le féliciter, Mr Gustave Tadji, revêtant de sa carrure de Président de ADIB ou Association pour la défense et les intérêts de Bukavu, garde l’image des paroles du Docteur Dénis à son égard : «…toi au moins tu es libéré puisque tu étais dans une prison ferme, moi je suis dans une prison ouvert, je ne sais pas quand je serais libéré ».

Une lecture toute particulière sur les élections.

Du coup, touché par la situation électorale qui touche à son bout, Mr Gustave s’est dit ne pas croire à la tenue des élections et reste tout indifférent à la procédure vers ces élections auxquelles l’effectivité n’est pas toujours rassurante.  Quoique candidat, député provincial aux élections législatives, son incertitude quant à la tenue des ces élections demeure le point fort de sa lecture du fait que les rapports des dirigeants restent plus que jamais sinueux et plus qu’incertain sur les valeurs qui couronnent les enjeux électoraux. En force, Mr Tadji fait mention de cette décrispation qui a été la résultante d’un lobbying étranger et voué à faire exécuter au Chef de l’Etat les promesses auxquelles il se serait assigné.
Très voué au patriotisme, Mr Gustave Tadji a sûrement rappelé que depuis 2010, ayant mis fin à sa carrière de fonctionnaire à la banque centrale du Congo, qu’il faudrait refaire la classe politique car les idéologies sont partagées à la majorité comme à l’opposition ; et que ceux là ne se retrouvant pas il aurait fallu qu’il forme une force d’avant-garde auprès de son idéologie.

 

Un appel à la population de la province du Sud-kivu

A la population de la république démocratique du Congo, et plus précisément de la province du Sud-kivu Gustave Tadji propose qu’il faudrait brandir les valeurs de l’amour, l’unité et le développement pour affermir les valeurs républicaines et sociétales à l’intérêt de toute une nation.
Mr Gustave reste cependant consterné par le temps perdu qu’il a enregistré en prison dans l’indécision.

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